Vink, Cine_ peignant dans le jardin botanique de Belem, acylique, 2009Ce qui frappe d'emblée en arrivant à Lisbonne, c'est la circulation très fluide et peu dense pour une capitale. Cela s'explique par des transports en commun faciles, bien organisés et bon marché. C'est tout bénéfice pour les visiteurs. La ville est belle et verte, la population gentille. En plein centre, le jardin botanique dont l'entrée ne paie pas de mine, est un trésor à ne pas rater : on s'y croit transporté dans les lointaines contrées tropicales où se sont aventurés des milliers d'explorateurs portugais aux siècles passés. A Belem, le jardin tropical est plus petit mais ne manque pas non plus de charme.
A la tombée du jour, au Miradouro da Sao Pedro da Alcantara qui surplombe le centre ville, le spectacle est inoubliable et vaut à lui seul la moitié du voyage.
A Carcais, en face de l'océan Atlantique et d'une phare bleue, nous avons vécu au paradis en écoutant une chanson. Celle-ci avait dû être composée en face de la mer, sous un ciel bleu et à l'ombre de palmiers pour restituer, dans les mêmes conditions, une si intense sensation de paradis terrestre.
