Site dédié au dessin, à l'illustration, à l'aquarelle, à la peinture, aux carnets de voyage et à la bande dessinée. Een webstek die aan tekeningen, illustraties, schilderijen en het beeldverhaal is gewijd. Portal gewidmet an Zeichnungen, Illustrationen, Aquarellen, Malerei und Comics. A website devoted to drawing, illustration, watercolor, realistic painting, en plein air painting and comics. All art work and text is copyrighted by Vink & Cine, unless otherwise attributed.
Friday, March 30, 2007
Wednesday, March 28, 2007
Monday, March 26, 2007
Saturday, March 24, 2007
carnet de voyage
Thursday, March 22, 2007
Vink, aquarelle pour un calendrier, 1989.
Hors cadre, illustration sur ordinateur pour un faire-part de mariage, 2006.
Cette scène pastorale sous l'arbre me rappelle une peinture de Brueghel l'Ancien, La danse paysanne, mais je ne sais pas si elle m'a inspiré à l'époque. En tout cas, mon aquarelle me fait toujours rêver et a été le point de départ de notre bande desinée Le passager ( cliquer ici pour voir le lien vers cette série publiée chez Dargaud )
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Hors cadre, illustration sur ordinateur pour un faire-part de mariage, 2006.
Cette scène pastorale sous l'arbre me rappelle une peinture de Brueghel l'Ancien, La danse paysanne, mais je ne sais pas si elle m'a inspiré à l'époque. En tout cas, mon aquarelle me fait toujours rêver et a été le point de départ de notre bande desinée Le passager ( cliquer ici pour voir le lien vers cette série publiée chez Dargaud )
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Tuesday, March 20, 2007
Illustrations de Vink
A la demande d'amis vietnamiens, je publie ce dessin qui a illustré l'affiche pour une exposition du C.R.I.A.B.D. à Soignies en 1989.
Náng est un vocable vibrant, un des plus beaux de la langue vietnamienne . Il signifie " lumière du soleil ". Hoa náng désigne les ronds dansants de cette lumière.
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Randonnée

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Sunday, March 18, 2007
Laval BD 2007, festival régional et international ( 10 & 11 mars )

Paul Teng, Pierre Dubois, Vink, Iouri Jigounov et Kas discourant dans 5 langues différentes. Traduction en français et en langage des signes respectivement par Eric Lequec et Roger Widenlocher qui ne sont pas sur cette photo ( Photo : Annabel )
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Friday, March 16, 2007
Galerie de portraits
Wednesday, March 14, 2007
Carnet de voyage

Nous avons été au festival de Laval le week-end passé. La vue du château au soleil est absolument fantastique. Alors on a sorti nos carnets et nos crayons (sépia).
La longueur de l'arche du pont paraît plus exact dans le dessin de Cine .
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Thursday, March 8, 2007
Tuesday, March 6, 2007
Saturday, March 3, 2007
Études de nus

Vink, 2007, crayon sépia ( 70 x 50 cm )
Ma dernière étude de nu d'après modèle et en grand format date des années 1975-1977. Trente ans après, ça fait du bien de recommencer.C'est exaltant de disposer de plus d'espace, de se permettre des gestes plus amples et plus vigoureux et enfin d'avoir une vision avec plus de recul de son travail.
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Thursday, March 1, 2007
Carnet de voyage

Cine, 2005, Bouillon, aquarelle, 21 x 23 cm
Ce pont se trouve derrière le château médiéval. C'est un très beau souvenir d'escapade. Il y avait du soleil. Nous étions assis sur un banc. Un marchand de glaces etait stationné un peu plus loin. C'était l'été .
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Tuesday, February 27, 2007
Carnet de voyage

Vink, 2006, Jeune femme lisant au parc de Maastricht,
acrylique sur carton entoilé, 18 x 24 cm
Maastricht est une belle petite ville à la frontière belgo hollandaise.
C'était un après-midi de juillet. J'ai pris un croquis rapide de la jeune femme sur le dos du carton car elle changeait souvent de pose. D'ailleurs elle s'en est allée l'instant d'après ; peut être s'était elle rendue compte que je la dessinais à 25 m de là, de l'autre côté de l'étang ... Le paysage est peint sur place, le personnage à l'atelier.
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C'était un après-midi de juillet. J'ai pris un croquis rapide de la jeune femme sur le dos du carton car elle changeait souvent de pose. D'ailleurs elle s'en est allée l'instant d'après ; peut être s'était elle rendue compte que je la dessinais à 25 m de là, de l'autre côté de l'étang ... Le paysage est peint sur place, le personnage à l'atelier.
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Saturday, February 24, 2007
Thursday, February 22, 2007
Carnet de voyage
Vink, 2006, Baie de Danang le soir, acrylique (12 x 18 cm )
Vink, 2006, Marché dominical de Crest, acrylique (18 x 12 cm )
Deux mondes, le premier peint en janvier, l'autre en mai de la même année. Deux instants de bonheur, mais le paysage du pays natal évoque une magie à nulle autre pareille, surtout à l'heure où tout devient bleu et que s'allument les lumières lointaines.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
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Vink, 2006, Marché dominical de Crest, acrylique (18 x 12 cm )
Deux mondes, le premier peint en janvier, l'autre en mai de la même année. Deux instants de bonheur, mais le paysage du pays natal évoque une magie à nulle autre pareille, surtout à l'heure où tout devient bleu et que s'allument les lumières lointaines.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
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Tuesday, February 20, 2007
Aquarelles de Cine

Cine, 2002, Les rêveurs 1, Les rêveurs 2, 34 x 54 cm
( Cliquez pour agrandir )
Quand j'ai commencé à dessiner cette série d'aquarelles, je pensais beaucoup opéra, danse, mouvements, mise en scène. En cours de réalisation, ces personnages ont pris vie d'eux-mêmes, surgissant comme des ombres transparentes de mon intérieur, de mes rêves.
Cine
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Galerie de portraits

Suite de la saga des trois frères basketteurs.
Voici Fabien et Fabrice que j'ai dessinés il y a 12 ans
( et non 15 ), le jour de la St Sylvestre de 1995. On dirait que les jours de fête m'inspirent.
Remarquez aussi que la plupart des portraits publiés jusqu'ici datent du siècle dernier. C'est une galerie épatante :-)
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Voici Fabien et Fabrice que j'ai dessinés il y a 12 ans
( et non 15 ), le jour de la St Sylvestre de 1995. On dirait que les jours de fête m'inspirent.
Remarquez aussi que la plupart des portraits publiés jusqu'ici datent du siècle dernier. C'est une galerie épatante :-)
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Saturday, February 17, 2007
Galerie de portraits
Flavien a deux frères dont j'avais fait le portrait il y a une quinzaine d'années.
A l'époque il était trop jeune et j'ai toujours refusé de dessiner les sujets remuants. Aujourd'hui le jeune gaillard, basketteur comme ses frères, m'a raconté que dans la maison familiale ça lui fait toujours drôle de voir les portraits dessinés des deux autres sans le sien.
Alors, malgré que ou parce que c'est jour de fête ( le 1er du Têt ), j'ai tenu à ce que cette ... injustice soit réparée.
Vink
A l'époque il était trop jeune et j'ai toujours refusé de dessiner les sujets remuants. Aujourd'hui le jeune gaillard, basketteur comme ses frères, m'a raconté que dans la maison familiale ça lui fait toujours drôle de voir les portraits dessinés des deux autres sans le sien.
Alors, malgré que ou parce que c'est jour de fête ( le 1er du Têt ), j'ai tenu à ce que cette ... injustice soit réparée.
Vink
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Friday, February 16, 2007
Jardin d'été, jardin d'hiver

A gauche, Matin dans le jardin, acrylique, 18 x 24 cm, peinte en deux séances vers 07 h, en juin 2006.
A droite, Soleil d'hiver, acrylique, 18 x 12 cm, réalisée cette année, justement hier. C'était comme une journée printanière, avec 10°C, deux jours avant le Têt.
Vink
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Wednesday, February 14, 2007
Peintures au Vietnam

Vink, Pont Thanh Toan à Huê, aquarelle
Préface de DANG TIEN au carnet de voyage
En Passant le Pont
L'aquarelle, "peinture légère sur papier", selon une définition condescendante d'un art mineur, fait pourtant le bonheur de Vinh Khoa.
L'artiste-peintre nous livre ici ses œuvres réalisées au Vietnam, son pays d'origine, lors d'un voyage au printemps 2001. Exilé en Belgique depuis 1969, il avait effectué plusieurs retours, mais son récent séjour fut autrement bénéfique. Il retrouva une terre qui lui est doublement natale : il y était né, et cette fois il y renaît, dans la mesure où il ressent libérées en lui, dans un ébranlement du moi profond, toutes les énergies créatrices, aboutissant à cette série d'aquarelles et de croquis qui sont autant de moments de bonheur.
Visions instantanées "prises sur le vif, d'après nature, dans la chaleur et la moiteur, sous le soleil et la pluie, mais aussi dans le bonheur" nous confie-t-il. D'ailleurs, technique oblige : la manière aquarelle impose une grande franchise, le geste direct, alla prima, sans repentir possible. Caractère spécifique du genre par rapport à l'huile : l'aquarelle est touche, et légèreté transparente, alors que l'huile est retouche et densité opaque. L'une est naissance, immédiate, l'autre est connaissance, médiate. L'aquarelle est l'aqua-rêve, une danse immobile de couleurs, lors de ces noces fugitives et infinies du souvenir et de la rêverie dont l'artiste a le secret.
L'œuvre de Vinh Khoa reprend le thème du retour : celui d'Ulysse, de l'enfant prodigue, du pèlerin, de l'émigré, de l'exilé. Désir ardent et angoissant chez l'exilé vietnamien, séparé de son royaume par l'espace, le temps, un temps fait de guerres, bouleversements, disparitions, déchirures ; il a peu d'espoir de retrouver "le clos de sa pauvre maison" comme le soupirait le poète. Mais il rêve toujours du retour, qui réunit ses souvenirs désunis.
Revenir, c'est reconquérir son enfance. Seulement, ceci dit, peindre son pays natal n'est pas dépeindre les paysages de sa mémoire. L'art, si modeste soit-il, ne s'arrête jamais à la "couleur du souvenir", cette Gedächtnisfarbe dont parlaient les psychologues ou les nostalgiques chagrinés. Vinh Khoa est présent à ce qu'il voit, perçoit et ressent, qui lui est réciproquement présent. Il peint l'étant, qui n'invoque, et ne révoque aucunement l'ayant été ; mais ce faisant, il vibre de tout son être, fait de sensations et d'imaginaire, de virtualités créatrices qui n'excluent pas le souvenir.
Ainsi, son album commence par l'image de la chambre du père, vide, grand' ouverte sur une verdure clémente. Emotion retenue qui nous renvoie toute la résonance du vocable "patrie" (no 1). Il nous montre ensuite sa demeure familiale, creuset intime devenu, en partie, l'espace public d'un salon de thé improvisé, pour des raisons économiques : témoignage social discret mais disert (no 3 et no 4). Le spectacle de la marchande au bord de la route, somnolente sur son étalage dérisoire nous interpelle par un rouge laque vif sur un fond blanc éblouissant (no 2). Ou cette femme juvénile faisant la lessive, au pied d'un jeune aréquier d'une fraîcheur transparente (no 13).
La pluie fine sur le Mékong, des frémissements sur la baie de Lang-Co, le crépuscule sur la Rivière des Parfums, le matin limpide à l'entrée du Temple Tu Hiêu, les barques dont la silhouette varie d'un embarcadère à l'autre, les carrés de rizière aux cheveux blondissants, et au bord de la Rivière de Da Nang natal, la pergola couverte de bougainvilliers en fleur, en attendant la saison des flamboyants, sont-ce des paysages réels ou pré-réels, d'un climat vrai ou onirique ?
Chaque pays natal est une donnée matérielle qui déclenche un paysage intérieur, prolongeant le saisissable dans l'insaisissable. Pays devient arrière-pays, puis arrière-monde que l'homme a "poétiquement habité" selon la métaphore de Holderlin. Ainsi Vinh Khoa, inassouvi de ses aquarelles personnelles, cherche à les "poèmatiser" par les poèmes du Vénérable Thich Nhât Hanh, une des figures majeures du Zen qu'il est difficile de présenter en quelques lignes.
Le bonze vietnamien est l'un des initiateurs modernes du Zen en Occident, fondateur du Village des Pruniers, centre de méditations bouddhiste dans le Bordelais qui accueille à chaque retraite, des milliers de participants du monde entier, de confessions et d'horizons intellectuels différents.
Le vénérable Nhat Hanh a publié des dizaines de livres en français, anglais, allemand. Mais il intervient ici comme moine-poète, pour qui Poésie, Prière, Méditation forment un seul Souffle. Les extraits de poèmes ont été choisis pour leur adéquation aux sujets des aquarelles, mais aussi pour leur qualité humaniste, variée, simple d'accès, sensible à la traduction.
En Passant le Pont, quel titre révélateur !
Le pont : lieu de passage, rencontre, communication. Lieu de l'aller-retour, l'inter-rive, l'inter-rêve, est-ce aussi l'inter-être dont parlait Nhat Hanh jadis ?
Et Victor Hugo n'a-t-il pas dit quelque part, que la prière même est un pont (*) ?
Le Pont, ici correspondance entre Poésie et Peinture, fait en même temps relation entre l'Exil et le Royaume. Le Pont est à la fois Mémoire et Projet : les aquarelles de Vinh Khoa qui célèbrent le retour au pays, à l'enfance, ouvrent pour beaucoup d'entre nous une espérance : la possibilité d'une Réconciliation avec le Temps, avec l'Histoire.
DANG TIEN
Août 2001
Université de Paris VII
(*) en vietnamien, pont et prière se disent de la même façon "cÇu". L'auteur de la Légende des Siècles, naturellement, ne le savait pas.
______________________________________________________________________________________L'artiste-peintre nous livre ici ses œuvres réalisées au Vietnam, son pays d'origine, lors d'un voyage au printemps 2001. Exilé en Belgique depuis 1969, il avait effectué plusieurs retours, mais son récent séjour fut autrement bénéfique. Il retrouva une terre qui lui est doublement natale : il y était né, et cette fois il y renaît, dans la mesure où il ressent libérées en lui, dans un ébranlement du moi profond, toutes les énergies créatrices, aboutissant à cette série d'aquarelles et de croquis qui sont autant de moments de bonheur.
Visions instantanées "prises sur le vif, d'après nature, dans la chaleur et la moiteur, sous le soleil et la pluie, mais aussi dans le bonheur" nous confie-t-il. D'ailleurs, technique oblige : la manière aquarelle impose une grande franchise, le geste direct, alla prima, sans repentir possible. Caractère spécifique du genre par rapport à l'huile : l'aquarelle est touche, et légèreté transparente, alors que l'huile est retouche et densité opaque. L'une est naissance, immédiate, l'autre est connaissance, médiate. L'aquarelle est l'aqua-rêve, une danse immobile de couleurs, lors de ces noces fugitives et infinies du souvenir et de la rêverie dont l'artiste a le secret.
L'œuvre de Vinh Khoa reprend le thème du retour : celui d'Ulysse, de l'enfant prodigue, du pèlerin, de l'émigré, de l'exilé. Désir ardent et angoissant chez l'exilé vietnamien, séparé de son royaume par l'espace, le temps, un temps fait de guerres, bouleversements, disparitions, déchirures ; il a peu d'espoir de retrouver "le clos de sa pauvre maison" comme le soupirait le poète. Mais il rêve toujours du retour, qui réunit ses souvenirs désunis.
Revenir, c'est reconquérir son enfance. Seulement, ceci dit, peindre son pays natal n'est pas dépeindre les paysages de sa mémoire. L'art, si modeste soit-il, ne s'arrête jamais à la "couleur du souvenir", cette Gedächtnisfarbe dont parlaient les psychologues ou les nostalgiques chagrinés. Vinh Khoa est présent à ce qu'il voit, perçoit et ressent, qui lui est réciproquement présent. Il peint l'étant, qui n'invoque, et ne révoque aucunement l'ayant été ; mais ce faisant, il vibre de tout son être, fait de sensations et d'imaginaire, de virtualités créatrices qui n'excluent pas le souvenir.
Ainsi, son album commence par l'image de la chambre du père, vide, grand' ouverte sur une verdure clémente. Emotion retenue qui nous renvoie toute la résonance du vocable "patrie" (no 1). Il nous montre ensuite sa demeure familiale, creuset intime devenu, en partie, l'espace public d'un salon de thé improvisé, pour des raisons économiques : témoignage social discret mais disert (no 3 et no 4). Le spectacle de la marchande au bord de la route, somnolente sur son étalage dérisoire nous interpelle par un rouge laque vif sur un fond blanc éblouissant (no 2). Ou cette femme juvénile faisant la lessive, au pied d'un jeune aréquier d'une fraîcheur transparente (no 13).
La pluie fine sur le Mékong, des frémissements sur la baie de Lang-Co, le crépuscule sur la Rivière des Parfums, le matin limpide à l'entrée du Temple Tu Hiêu, les barques dont la silhouette varie d'un embarcadère à l'autre, les carrés de rizière aux cheveux blondissants, et au bord de la Rivière de Da Nang natal, la pergola couverte de bougainvilliers en fleur, en attendant la saison des flamboyants, sont-ce des paysages réels ou pré-réels, d'un climat vrai ou onirique ?
Chaque pays natal est une donnée matérielle qui déclenche un paysage intérieur, prolongeant le saisissable dans l'insaisissable. Pays devient arrière-pays, puis arrière-monde que l'homme a "poétiquement habité" selon la métaphore de Holderlin. Ainsi Vinh Khoa, inassouvi de ses aquarelles personnelles, cherche à les "poèmatiser" par les poèmes du Vénérable Thich Nhât Hanh, une des figures majeures du Zen qu'il est difficile de présenter en quelques lignes.
Le bonze vietnamien est l'un des initiateurs modernes du Zen en Occident, fondateur du Village des Pruniers, centre de méditations bouddhiste dans le Bordelais qui accueille à chaque retraite, des milliers de participants du monde entier, de confessions et d'horizons intellectuels différents.
Le vénérable Nhat Hanh a publié des dizaines de livres en français, anglais, allemand. Mais il intervient ici comme moine-poète, pour qui Poésie, Prière, Méditation forment un seul Souffle. Les extraits de poèmes ont été choisis pour leur adéquation aux sujets des aquarelles, mais aussi pour leur qualité humaniste, variée, simple d'accès, sensible à la traduction.
En Passant le Pont, quel titre révélateur !
Le pont : lieu de passage, rencontre, communication. Lieu de l'aller-retour, l'inter-rive, l'inter-rêve, est-ce aussi l'inter-être dont parlait Nhat Hanh jadis ?
Et Victor Hugo n'a-t-il pas dit quelque part, que la prière même est un pont (*) ?
Le Pont, ici correspondance entre Poésie et Peinture, fait en même temps relation entre l'Exil et le Royaume. Le Pont est à la fois Mémoire et Projet : les aquarelles de Vinh Khoa qui célèbrent le retour au pays, à l'enfance, ouvrent pour beaucoup d'entre nous une espérance : la possibilité d'une Réconciliation avec le Temps, avec l'Histoire.
DANG TIEN
Août 2001
Université de Paris VII
(*) en vietnamien, pont et prière se disent de la même façon "cÇu". L'auteur de la Légende des Siècles, naturellement, ne le savait pas.

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Peinture Vink,
Thich Nhat Hanh,
Vietnam
Monday, February 12, 2007
Galerie de portraits


Portraits reproduits à partir de photocopies .
La photocopie de Julos Beaucarne date de 1988, elle est très sombre et j'ai pu tant bien que mal l'éclaircir. Nous étions quatre à lui rendre visite. Il nous a gentiment reçus autour d' une tarte. Notre fils, encore très jeune, a cassé une pièce de sa collection de petits vélos ...
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La photocopie de Julos Beaucarne date de 1988, elle est très sombre et j'ai pu tant bien que mal l'éclaircir. Nous étions quatre à lui rendre visite. Il nous a gentiment reçus autour d' une tarte. Notre fils, encore très jeune, a cassé une pièce de sa collection de petits vélos ...
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Saturday, February 10, 2007
Peinture d'automne
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